v1.2
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Elle part, Au delà des orages
S’enfuit, elle pleure,
S’en va rejoindre la vie
Loin des éclairs, débris
De la colère et des verres.
Le long des rives,
Elle court à la dérive
Fébrile,
Sa vie devient fragile
Elle boit, la tasse,
Des crus de son visage
S’enfonce seule
Dans la lie de la nuit,
Elle pousse un cri!
Le long de cette rivière,
S’écrit,
Un télégramme moderne
Oh net désespoir, s’évade …
Au loin derrière la vitre
Un homme l’invite
Habile
De son piano mobile
Sèche ses grosses larmes
Les maux se décomposent…
Soudain elle aime
Sous son regard
Des papillons, des fleurs
Un cøeur s’envole
Sauvage battements de cils
Goutte déjà le miel
Comme un parfum de lune!
Hier, otage
D’une rupture, ravage
La gaieté se réveille matin
Dans les bras d’un jeune âge
Qui console la peine
Mouchoir d’infortune…
Et elle revient
Le corps rempli d’amour
S’en va rejoindre
Les mots des poètes d’un jour
Qui consolent la nuit
Son petit cøeur d’amour…
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Elle part Au delà des orages
S’enfuit, elle pleure,
S’en va rejoindre la vie
Loin des éclairs, débris
De la colère et des verres.
Le long des rives,
Elle court à la dérive
Fébrile,
Sa vie devient fragile
Elle boit, la tasse,
Des crus de son visage
S’enfonce seule
Dans la lie de la nuit,
Elle pousse un cri!
Le long de cette rivière,
S’écrit,
Un télégramme moderne
Oh net désespoir s’échappe…
Au loin derrière la vitre
Un homme l’invite
Habile
De son piano mobile
Sèche ses larmes
Les maux se décomposent…
Soudain elle aime
Sous son regard
Des papillons des fleurs
Un cøeur s’envole
Sauvage battements de cils
Goutte déjà le miel
Comme un parfum de lune
Hier otage
D’une rupture, ravage
La gaieté se réveille matin
Dans les bras d’un jeune âge
Qui console la peine
Mouchoir d’infortune…
Et elle revient
Le corps rempli d’amour
S’en va rejoindre
Les mots des poètes d’un jour
Qui consolent la nuit
Son petit cøeur d’amour…