Oh j’aime sentir la bRaise …
Quand, de nos souffles coupés,
L’aiR vient à manquer …
De cette chaleur née de l’étincelle
De tes doigts sur la branche …
L’incandescente au soufflet de ta bouche
sous la flamme de ton regard se ravive…
Oh Viens ! Je ne tiens plus …
Laisse la « s’étreindre »
Au feu de nos corps
Et se consumer
Aux sons des crépitements de ce désir brûlant !
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